Décadrages – N°7 Stephen Dwoskin

Stephen Dwoskin, immobilisé par son handicap, exhibe la dynamique voyeuriste du cinéma en filmant le corps et le regard de femmes qui lui font face. Première monographie consacrée à ce cinéaste expérimental britannique. Journées de Soleure 2006.

Remerciements à Stephen Dwoskin.
132 p.
ISBN 978-29700582-3-6

Ajouter au panier

Supprimer

EDITORIAL

Le cinéma de Stephen Dwoskin fait l’objet d’une récente actualité, tant internationale que nationale. D’une part, le 35e Festival international du film de Rotterdam a consacré, du 25 janvier au 2 février 2006, une rétrospective au cinéaste. D’autre part, les Films du Renard ont édité un premier volet de l’intégrale de son œuvre en DVD (disponible sur le site www.renardfilms.org). Mais qu’en est-il de cette terra incognita cinématographique, que l’on découvre à nouveau 1 ? Côtoyant la bohême de …

(+ Continuer la lecture)

SOMMAIRE

François Albera
Oblivion de Stephen Dwoskin : la défonce de l’infini
François Bovier
Tod und Teufel de Stephen Dwoskin : le receleur et la « monnaie vivante »
Mathias Lavin
Le cinéma de Stephen Dwoskin ou l’utopie d’un lieu sans espace
François Bovier, Andreas Stauder
La relation audio-visuelle chez Stephen Dwoskin
Laurent Guido
Ballets d’images et de corps : mouvements rythmés dans les premiers courts métrages de Stephen Dwoskin
Laurent Guido
Ballets d’images et de corps : mouvements rythmés dans les premiers courts métrages de Stephen Dwoskin
Véronique Goël , Stephen Dwoskin
Love Story Still
Stephen Dwoskin, François Bovier
Entretien avec Stephen Dwoskin : filmographie commentée par l’auteur
Marthe Porret
Self-Made Portrait (2005) de Claudine Després et Julien Schmid

RUBRIQUE SUISSE

Alain Boillat
Introduction
Alain Boillat
Entre burlesque et tragique : Lenz, ou la création au quotidien
Marthe Porret
Exit ou la fuite du point de vue
Raphaël Pasche
Ryna ou l’oppression machiste
Alain Boillat
Snow White : tout blanc tout noir
Marthe Porret
La représentation du migrant : un « genre » helvétique
Raphaël Pasche
Trois documentaires mythologisants
Alain Boillat
Ultima Thule, un documentaire serti dans la fiction
Marthe Porret
Fragile (2005) de Laurent Nègre : belles querelles
Alain Boillat
Havarie (Xavier Koller, 2005)
Marthe Porret
The Giant Buddhas (Christian Frei, 2005)
Alain Freudiger
« Sortie du labo »
Raphaël Pasche
Die Vogelpredigt (Clemens Klopfenstein, 2005)
Alain Boillat
Jeune homme (Christophe Schaub, 2005)
Marthe Porret
Die Vitusmacher – der Film zum Film (Rolf Lyssy, 2005)
Alain Boillat
Micha ou la Révolution des roses (Christian Zeender, 2004) et Le Soleil orange (Piotr Jaxa, Hanna Polak, Urszula Lesiak, 2006)
Raphaël Pasche
Nicolas Bouvier, 22 Hospital Street (Christoph Kühn, 2005)
Alain Boillat
Wer war Kafka ? (Richard Dindo, 2005)
Raphaël Pasche
Family Music (Pierre-Yves Borgeaud, 2004)
Alain Boillat
Le Souffle du désert (François Kohler, 2005)
Marthe Porret
Opération Shakespeare à la Vallée de Joux (Anne Cuneo, 2005)
Raphaël Pasche
Domaine privé (Rafaël Wolf, 2005)
Alain Boillat
La Petite dame du Capitole (Jacqueline Veuve, 2005)