Études consacrées à des films qui gravitent autour de "Fenêtre sur cour" d'Alfred Hitchcock: les films de Brian De Palma, les "Histoire(s) du cinéma" de Godard, "Remake" de Pierre Huyghe ou le dialogue instauré avec la télévision des années 50.
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EDITORIAL
SOMMAIRE
Denis Martin
Abécéd’hitch
François Bovier
Hitchcock et l’art contemporain : Remake. A propos d’une bande vidéo de Pierre Huyghe
François Bovier
Hitchcock et l’art contemporain : Remake. A propos d’une bande vidéo de Pierre Huyghe
André Chaperon
Jefferies et son contre-champ godardien. Le seuil hitchcockien des Histoire(s) du cinéma
Alain Boillat
Les reprises du dispositif narratif de Rear Window chez Brian De Palma
Mireille Berton
Fenêtre sur cour, la petite lucarne et l’Amérique des années 50 : notes sur la construction du (de la) téléspectateur(trice)
Mireille Berton
Fenêtre sur cour, la petite lucarne et l’Amérique des années 50 : notes sur la construction du (de la) téléspectateur(trice)
François Albera
Une visite au Louvre de Jean-Marie Straub et Danièle Huillet : « un abîme où l’œil s’enfonce… »
François Albera
Une visite au Louvre de Jean-Marie Straub et Danièle Huillet : « un abîme où l’œil s’enfonce… »
Abécéd’hitch
François Bovier
Hitchcock et l’art contemporain : Remake. A propos d’une bande vidéo de Pierre Huyghe
François Bovier
Hitchcock et l’art contemporain : Remake. A propos d’une bande vidéo de Pierre Huyghe
André Chaperon
Jefferies et son contre-champ godardien. Le seuil hitchcockien des Histoire(s) du cinéma
Alain Boillat
Les reprises du dispositif narratif de Rear Window chez Brian De Palma
Mireille Berton
Fenêtre sur cour, la petite lucarne et l’Amérique des années 50 : notes sur la construction du (de la) téléspectateur(trice)
Mireille Berton
Fenêtre sur cour, la petite lucarne et l’Amérique des années 50 : notes sur la construction du (de la) téléspectateur(trice)
François Albera
Une visite au Louvre de Jean-Marie Straub et Danièle Huillet : « un abîme où l’œil s’enfonce… »
François Albera
Une visite au Louvre de Jean-Marie Straub et Danièle Huillet : « un abîme où l’œil s’enfonce… »